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✔️ POUR

L’innovation des crypto-monnaies :

Les crypto-monnaies sont aujourd’hui vu comme des concepts innovants.
La rapidité des échanges de celles-ci à travers le monde est un atout majeur,
car il ne suffit que d’une seconde pour faire une transaction.
De plus, il est bien plus simple d’échanger avec d’autres personnes grâce à ces monnaies,
et de créer des projets par exemple.
Plusieurs grandes entreprises créent ou tentent de créer leur propre monnaie virtuelle,
afin d’avoir leur rôle à jouer dans un domaine qui représente
potentiellement l’innovation et l’avenir de la mondialisation.
C’est le cas par exemple de Facebook, Diem, ou Microsoft.



Volonté des pays de créer une monnaie virtuelle :

Les banques et institutions des différents pays
ne sont pas toutes en accord sur l’emploi des crypto-monnaies.
Par exemple, le CSA ou le IIROC Canadiens optent pour une utilisation
encadrée des crypto-monnaies, alors que la Deutsche Bank en
Allemagne opte plutôt pour une utilisation totalement libre.
Malgré quelques différents points de vue, certaines se rejoignent,
comme les grandes banques européennes, qui encouragent la mise en place d’une monnaie virtuelle
permettant d’avoir une meilleure place dans la mondialisation,
grâce à l’innovation de celle-ci, et grâce à l’unicité des pays européens que cela engendrera.
Cela leur permettra également d’avoir un meilleur contrôle sur les différents échanges,
et de mieux gérer les éventuelles fraudes ou blanchiments d’argent.



Liberté des crypto-monnaies :

Grâce aux crypto-monnaies, tout le monde peut effectuer des transactions sans problème.
Les personnes n’ayant pas accès aux échanges traditionnels peuvent désormais
envoyer ou recevoir de l’argent grâce à internet.
De plus, ces utilisateurs peuvent aussi faire leurs transactions anonymement,
et même si c’est un argument “contre” pour certains, c’est un avantage important pour d'autres.

❌CONTRE

Fraudes et utilisations criminelles :

Beaucoup de personnes profitent des atouts de la crypto-monnaie,
comme le manque de traçabilité, ou l’anonymat que confère l’utilisation de celles-ci,
pour s’en servir à des fins frauduleuses.
Plusieurs instances juridiques dénoncent en effet ces actes,
comme la FSA au Japon, après la fuite de Carlos Ghosn en décembre 2019.
A cela s’ajoutent des échanges illicites, ainsi que des blanchiments d’argent,
permettant aux groupes terroristes des achats d’armes.
La crypto-monnaie représente alors un outil de finance pour des groupes radicaux ou violents,
ce que les pays et instances luttant contre le terrorisme veulent éviter.



Échappatoire aux sanctions internationales :

Des pays tels que l'Iran ou le Venezuela utilisent les monnaies virtuelles
pour contourner les sanctions internationales qui pèsent sur eux.
Celles-ci permettent déjà d’échapper aux impôts,
et peuvent permettre d’échapper à différentes sanctions, peines,
ou encore de contourner des systèmes. Cela laisse donc penser que la monnaie virtuelle
pourrait à l’avenir être un outil général
permettant de contourner les règles internationales.



Manque de support physique :

Les crypto-monnaies sont des biens uniquement virtuels,
utilisés sur des supports virtuels et même stockés sur
des supports virtuels sans aucun contact physique entre le client et l’acheteur.
Ce problème est surtout pointé du doigt par les autorités algériennes,
la disparition de pièces de monnaie, de billets ou de chèques,
compliquerait grandement l’encadrement des crypto-monnaies.
Ce manque de contact physique reste une barrière mentale
pour des potentielles utilisateurs qui fera obstacle
à la démocratisation de ces monnaies virtuelles.

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